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bail à reprendre, travaux à faire, clients à espérer (rue Carreterie ?)
Rue Thiers !
Rue Thiers !
Les panneaux "vendu" sur le côté de l'immeuble laissent imaginer des travaux futurs. Ce matin j'ai vu y arriver des cartons de déménagement. Quand on voit l'état de délabrement des volets je n'imaginais même pas que quelqu'un y vivait...
quelqu'un a oublié d'éteindre la lumière...
C'était le commerce de mademoiselle Quentin. (Information de Marie Helen Bourgin.)
Tilia, ou bien quelqu'un y vit...
Témoignage de Brigitte Guiraud sur Facebook :
« J'ai connu jeune adolescente dans les années 68/70 (déjà), les dernières propriétaires, qui étaient deux sœurs (je crois). Quand vous rentriez dans cette boutique c’était déjà la panique à l'intérieur, l'odeur qui s'en dégageait était insupportable, sur elles et dans la mercerie !! Ces personnes devaient être vraiment dans le besoin. Un souvenir de peine quand il m'arrive de penser a ces personnes et que je passe dans la rue Thiers... »
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bail à reprendre, travaux à faire, clients à espérer (rue Carreterie ?)
Rue Thiers !
Rue Thiers !
Les panneaux "vendu" sur le côté de l'immeuble laissent imaginer des travaux futurs. Ce matin j'ai vu y arriver des cartons de déménagement. Quand on voit l'état de délabrement des volets je n'imaginais même pas que quelqu'un y vivait...
quelqu'un a oublié d'éteindre la lumière...
C'était le commerce de mademoiselle Quentin. (Information de Marie Helen Bourgin.)
Tilia, ou bien quelqu'un y vit...
Témoignage de Brigitte Guiraud sur Facebook :
« J'ai connu jeune adolescente dans les années 68/70 (déjà), les dernières propriétaires, qui étaient deux sœurs (je crois). Quand vous rentriez dans cette boutique c’était déjà la panique à l'intérieur, l'odeur qui s'en dégageait était insupportable, sur elles et dans la mercerie !! Ces personnes devaient être vraiment dans le besoin. Un souvenir de peine quand il m'arrive de penser a ces personnes et que je passe dans la rue Thiers... »