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ça commence (chez moi aussi) avec une forte prépondérance de Boris Vian, mais reste plein de place
je découvre ta jolie sentence "l'identité d'Avignon"
Je l'ai utilisée également sur Facebook mais :
« L'identité n'est pas une circonscription, mais un point de départ. »
L'identité se construit: elle n'est pas donné au départ
Un vrai festival de dazibaos
Affichage officiellement autorisé à partir de minuit et manifestement la nuit a été active !
Cela dit certains avaient pris de l'avance dans la journée de dimanche. :-)
chez moi et je pense chez Michel ce sont ceux qui avaient pris de l'avance dans la nuit de samedi - ce matin festons d'affiches place de l'horloge
Est-ce que notre généalogie ne participe pas de notre identité ?
Est-ce que notre ciel astral ne participe pas de notre identité ?
Est-ce que notre terroir de naissance ne participe pas de notre identité ?
Est-ce que notre état-civil ne participe pas de notre identité ?
Une forte identité nous est donnée au départ !
Nous en sommes un point (de départ).
Ce matin la halle de la place des Carmes, vide et constellée d'affiches, est une merveille !
Et je pense que chacun doit, un jour ou l'autre, tourner le dos à cette identité innée.
Pour ne pas garder d'œillères.
Et y revenir, un jour ou l'autre, certainement.
Très loquace, aujourd'hui, Michel ;-)
Entièrement d'accord avec toi pour dire que l'identité est bien donnée au départ.
Et pour dire aussi que "chacun doit, un jour ou l'autre, tourner le dos à cette identité innée", et là j'ajoute "afin de développer sa personnalité". Un travail de longue haleine qui se poursuit tout au long de l'existence.
On pourrait parler aussi de racines. Pour moi, on peut renier son identité inscrite à l'état civil, mais on ne devrait pas se couper de son histoire enracinée en partie dans le terroir de ses ancêtres et en partie dans le territoire de son enfance (quand les deux ne sont pas superposées).
Très inégal selon les quartiers, comme toujours c'est le cours Jean Jaurès et certains endroits de la rue Guillaume Puy qui sont le plus couverts. Personnellement je n'arrive pas à m'y faire, je compte les arbres qui ont servi à ce massacre, même si l'on parle recyclage. Même les platanes en perdent leur écorce !
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ça commence (chez moi aussi) avec une forte prépondérance de Boris Vian, mais reste plein de place
je découvre ta jolie sentence "l'identité d'Avignon"
Je l'ai utilisée également sur Facebook mais :
« L'identité n'est pas une circonscription, mais un point de départ. »
L'identité se construit: elle n'est pas donné au départ
Un vrai festival de dazibaos
Affichage officiellement autorisé à partir de minuit et manifestement la nuit a été active !
Cela dit certains avaient pris de l'avance dans la journée de dimanche. :-)
chez moi et je pense chez Michel ce sont ceux qui avaient pris de l'avance dans la nuit de samedi - ce matin festons d'affiches place de l'horloge
Est-ce que notre généalogie ne participe pas de notre identité ?
Est-ce que notre ciel astral ne participe pas de notre identité ?
Est-ce que notre terroir de naissance ne participe pas de notre identité ?
Est-ce que notre état-civil ne participe pas de notre identité ?
Une forte identité nous est donnée au départ !
Nous en sommes un point (de départ).
Ce matin la halle de la place des Carmes, vide et constellée d'affiches, est une merveille !
Et je pense que chacun doit, un jour ou l'autre, tourner le dos à cette identité innée.
Pour ne pas garder d'œillères.
Et y revenir, un jour ou l'autre, certainement.
Très loquace, aujourd'hui, Michel ;-)
Entièrement d'accord avec toi pour dire que l'identité est bien donnée au départ.
Et pour dire aussi que "chacun doit, un jour ou l'autre, tourner le dos à cette identité innée", et là j'ajoute "afin de développer sa personnalité". Un travail de longue haleine qui se poursuit tout au long de l'existence.
On pourrait parler aussi de racines. Pour moi, on peut renier son identité inscrite à l'état civil, mais on ne devrait pas se couper de son histoire enracinée en partie dans le terroir de ses ancêtres et en partie dans le territoire de son enfance (quand les deux ne sont pas superposées).
Très inégal selon les quartiers, comme toujours c'est le cours Jean Jaurès et certains endroits de la rue Guillaume Puy qui sont le plus couverts. Personnellement je n'arrive pas à m'y faire, je compte les arbres qui ont servi à ce massacre, même si l'on parle recyclage. Même les platanes en perdent leur écorce !