Cent ans après porte du Rhône
One hundred years later at Rhône door
Cènt an après porto dóu Rose
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Cent ans après porte du Rhône
One hundred years later at Rhône door
Commentaires
Oh, la première grande maison après la porte a disparu, mais quel dommage elle avait l'air bien belle ! Et les réverbères d'antan avaient davantage l'air de réverbères et il n'y avait pas non plus de sens interdit (c'était peut-être piéton alors), et puis j'aimais bien les petites échoppes accolées au rempart aussi, bref...je suis une éternelle nostalgique qui s'est trompée de siècle au moment de ma réincarnation !
Ceci étant dit, ça me va bien de dire tout ça en tapotant sur les touches de mon ordinateur !
Pffouff, je ne fais pas mon intéressante, c'est juste que ça me fait toujours bizarre de voir avant, après, et systématiquement, jusqu'à présent toutes tes photos que j'ai visionné sur ton blog, j'aime mieux comme c'était avant ! J'ai le droit non, même si j'ai internet ?
Un endroit qui a peu changé, à par les démolitions que l'on ne fait qu'entrevoir. Mais je retrouve mes pigeons sur le mur... Ils sont partout, préparent-ils le retour des "oiseaux" ?
je les regrette partout (tout au long des remparts) ces maisons-cahutes
Oui évidemment ce qui change c'est l'ablation des maisons accolées aux remparts. Ces maisons intégraient les remparts à la ville, les fondaient dans le paysage.
En leur enlevant leurs excroissances on leur a rendu leur rôle solennel de défense de l'intra-muros. Remparts d'opérette, mais ils font de l'effet.
Autres changements ? L'omniprésence de la signalisation urbaine bien sur.
Au sol, sur piquets multiples, c'est là qu'on voit le marché énorme que ça représente. Certains l'ont bien compris.
Tu le mets dans ta collection de sens interdits, celui-là ? Ah non, il n'est pas dans tes tags...
PS - en parapente, on s'envole (regarde la photo de ton lien !)
en kite snow (ou snow kite) on ne décolle que marginalement.
La différence entre les deux n'est pas l'altitude mais la hauteur.
L'altitude c'est la hauteur où tu te trouves en valeur absolue par rapport au niveau de la mer
La hauteur, c'est ta hauteur relative par rapport au sol en-dessous de toi.
En avion, si tu voles au-dessus de l'himalaya tu peux être à une altitude impressionnante mais à une hauteur inquiétante si tu ne passes pas la montagne qui est devant toi.
Coucou, me revoilou.
A touti Lou Ravi vous pourgis si meiour vot per l'an nouvèu. Bono annado, ben granado e ben acoumpagnado !
Intéressante photo ancienne. je n'avais pas fait attention au caractère récent de la porte par rapport au rempart (?).
Les constructions parasites ont presque toutes disparu. Reste l'ancienne fabrique d'échelle Deprecq (ortographe non garantie) près anciennes prisons et le Bar de la Navigation qui devrait bientôt fermer (?). Ces maisons étaient insalubres, sans commodités mais on pouvait, pour ceux qui les ont connues, y être attaché. Les remparts avaient un vrai rôle défensif mais il sont aujourd'hui noyés dans l'exhaussement de la chaussée et des abords. On a une idée de la contrescarpe du côté des remparts St Michel, face à la gare. Partout ailleurs le glacis été noyé sous le remblai.
"Le glacis a été noyé..."
aaaahhhhh Lou Ravi est de retour ! Je suis r... super contente !
E, se noun sian pas mai, que noun fuguen pas mens ! Meiour vot Lou Ravi !
La porte Eyguière (dite porte du Rhône) a été reconstruite en 1761.
Ah oui ! C'est comment déjà ? Deprecq ou Depercq ? J'aimerai bien que l'on y implante une activité quelconque, une auberge par exemple.
Je serai désolé de la fermeture du bar de la Navigation, non que je le fréquente ou l'aie fréquenté, mais parce que c'est le dernier espace vivant de cet endroit (à part un peu les quais en contre-bas bien sûr).
Le remblai des remparts aurait-il noyé également des douves alimentées par les sorgues ?
Nathalie a raison, la signalétique est omniprésente, à croire qu'on a tombé les maisons pour mettre des panneaux.
Et on peut ajouter en riant : e si i'a un mort siegue lou porc !
Donc porte du XVIIIème, merci pour l'info.
Deprecq. On allait jusque dans les années 90 y acheter des échelles-chevalets pour oliver ou cueillir cerises et abricots. Julie le fille est restauratrice de tableau à Châto je crois. Il y avait à côté (aujourd'hui parking devant la poterne près prison) une auberge, son nom m'échappe...Je me promets toujours d'aller boire un pot à La Navigation. Salle nue, inondations possibles oblige, comme en 2003. Le tour des remparts est bien inanimé de nos jours comme tu le soulignes...Sauf la nuit avec les putes et quelques allumés...
Mais où est donc passé le panneau "...de ne pas déposer les sacs et les déchets...etc..." ?...
Entre paranthèse, bravo la signalétique ! On ne peut pas faire mieux pour rendre "laid" notre environnement !...
Beau cadrage pour essayer de retrouver la même vision que sur le cliché N/B !...