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Cent ans après Roumanille

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Commentaires

  • Ah puteng! La mise à mort de ce monument de la culture provençale que fut la librairie Roumanille, ça me fait éclater les aliboffis! Quand je pense que ni la municipalité, ni le département, ni la région, qui gaspillent tant de pognon en conneries, n'ont été capables de sauver ce temple de la culture provençale...qui est devenu un coiffeur puis, un marchand d'huiles...
    A diable.

  • Le "temple" c'est aussi le fonds de livres. Il doit être dans les mains de Valérie Siaud, l'actuelle conseillère municipale déléguée au tourisme fluvial, aux arts chorégraphiques et à la danse (c'est pareil, non ?), subdéléguée au tourisme.

  • Si j'étais plus fortunée, j'aurais pu écrire que je pleure des larmes de sang et d'or pour exprimer, de manière un peu exagérée j'en conviens, mon amertume à la pensée de cette fermeture et la douleur que je ressens quand je repasse devant la défunte librairie Roumanille. C'est une galéjade plus éthérée que celle de Victor, dont l'explosion des aliboffis est assez théâtrale elle aussi !

    Merci pour le lien vers l'interview de Valérie Siaud par le musée Calvet, dont je retiens cette formule "On n’appréhende bien l’avenir qu’en étant fidèle aussi à son passé".

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