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Jean-Victor Joubert, homme des tavernes et de bonne volupté, épicurien convaincu nourri à la tétée d’octobre, est un humaniste luttant avec un humour souvent ravageur contre tous les obscurantismes de son temps, les intolérances et le sabir hexagonal. Il vénère autant Rabelais que Frédéric Dard, Victor Hugo que Marcel Aimé.
Il a été reporter de guerre au Vietnam et au Moyen-orient, cuisinier à Bangkok, hippy à Goa, bûcheron dans les Pyrénées, plongeur sous-marin à Marseille, acheteur de peaux en Turquie, de pierres précieuses en Afghanistan, directeur de presse...
Ce gaulois sans filtre manie la plume avec virtuosité et tendresse mais aussi précision et férocité.
Commentaires
Voilà le frangin ! Non ?
Jean-Victor Joubert, homme des tavernes et de bonne volupté, épicurien convaincu nourri à la tétée d’octobre, est un humaniste luttant avec un humour souvent ravageur contre tous les obscurantismes de son temps, les intolérances et le sabir hexagonal. Il vénère autant Rabelais que Frédéric Dard, Victor Hugo que Marcel Aimé.
Il a été reporter de guerre au Vietnam et au Moyen-orient, cuisinier à Bangkok, hippy à Goa, bûcheron dans les Pyrénées, plongeur sous-marin à Marseille, acheteur de peaux en Turquie, de pierres précieuses en Afghanistan, directeur de presse...
Ce gaulois sans filtre manie la plume avec virtuosité et tendresse mais aussi précision et férocité.