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Quarant'an après carriero dóu Vièi-Sestié

Quarante ans après rue du Vieux-Sextier
Fourty years after Vieux-Sextier street
Vierzig Jahre nach der Vieux-Sextier Straße

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Commentaires

  • la grande boucherie a retrouvé sa glorieuse beauté
    et les commerçants ont changé

  • Et les habitants sont partis.

  • Oui, Alain, pendant que je cadrai la photo (samedi matin), la rue s'est un peu vidée de ses passants. Mais après tout, cela parle d'une baisse de fréquentation qui est réelle.

  • Il y avait encore à peu près tout en 83, électro-ménager, électriciens, bouchers, couteliers, que sais-je encore, maintenant c'est boutiques éphémères et théâtres fermés..

  • LE BON LAIT
    La Société Laitière Moderne est née au début du 20ème siècle ;

    Avant la 1ère guerre mondiale, elle se spécialise dans l'approvisionnement en lait de la population lyonnaise et de la Côte d'Azur. À Lyon, elle commercialise le lait à travers un réseau de 90 magasins à l'enseigne du Bon lait. Elle a ouvert de nombreuses succursales dans des villes du Midi et du Sud-Est de la France. Quoique magasins succursales comme les CASINO ou les COOP, ils étaient exclusivement des magasins de vente BOF, et il y en avait partout dans Avignon aussi bien dans le centre-ville que dans les quartiers et les faubourgs. En 1969, la société cède ses filiales de production laitière aux groupes coopératifs Orlac et France Lait.

    Les magasins Bon lait étaient tenus par leur maison mère à respecter une excellente hygiène bien normalisée, les murs du magasin étaient revêtus de carreaux de faïence blancs et les vendeuses portaient une blouse blanche. Les produits frais arrivaient très régulièrement par camions isothermes.

    On y coupait le beurre dans une énorme motte avec 2 bâtons reliés par un fil d'acier, les bouteilles de lait et les pots de yaourt Benoît devenus plus tard Chambourcy, étaient encore en verre. On y faisait râper son gruyère, trancher le jambon et remplir sa bouteille d’huile grâce à la pompe manuelle reliée à un énorme baril.
    Le magasin de la rue du vieux sextier a fermé peu de temps après 1983, et la dame qui s’en occupait a du aller travailler avenue Monclar, dans un « Bon lait » qui a fermé également un an ou deux ensuite. Le concept n’était plus adapté et les supermarchés le concurrençait

    Source : http://www.mes-annees-50.fr/commerces_alimentation_de_toulon_p2.htm

    (En face, se trouvait le marchand de légumes ARBONA et de l'autre côté du porche, là où se trouve le self-service de photos d'identité, un autre BOF (Beurre Oeufs Fromages), le crémier BOMENEL.

  • le photomaton est très ancien, on venait de toute la ville pour se faire tirer le portrait , le bon lait était destiné à disparaitre maintenant que les jeunes boivent du "lait" d'avoine ou de je ne sais quoi.

  • Après avoir lu et apprécié la réponse d'Alain je pense que le crémier était Bomenel et Le Bon Lait M. Castrejon.

  • Mon père Maurice travaillait chez J A Benoit qui était au Château de Cassagne sur le Pontet . Cette société était géré par la famille Rouvier .Mon père livrait plus de 100 épiceries sur Avignon et même si le chiffre vous choque je crois être loin du compte .( en 1968 sur Magnanen j'en compte pus de 5 ) .Ne pas oublier sur Avignon les petits suisse Farlin et Jean , les yaourts "bulgares" de La Georgie (place des Carmes ) et sur Montfavet Scalacta., Rue Thiers Shoepher Chemin de cimetière les Ets Orio ( Mme Rozenblit) et Mr Walch à St Lazare ( Mme Supriani ), Le lait St Tronquet et Coumes et les fromages frais de laiterie de Mt Ventoux au Pontet

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