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Jaque III Stuart

Jacques III Stuart
James III Stuart

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Jacques François Édouard Stuart (1688-1766)
réfugié en Avignon en 1716 et 1717

prétendant aux trônes d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande
sous le titre de Jacques III d’Angleterre et d'Irlande et Jacques VIII d’Écosse
considéré par ses partisans comme "le Roi d’au-delà des mers"
surnommé par ses adversaires "le chevalier de St-George"
Peinture d'Antonio David

Les Jacobites réfugiés en Avignon et dans le comtat venaissin au XVIIIème siècle

Texte dans lequel on pourra lire par ailleurs :
« Le duc d’Ormond choisit alors l’hôtel de Donis (rue Dorée) comme nouvelle demeure, de 1733 à 1740. (...) Cet hôtel des Donis remonte au début du XVIème siècle (...) La rue Dorée prend alors le nom de son plus célèbre occupant pendant ses sept années de présence. Jean Joseph Bechet, chef d’une célèbre dynastie médicale en Avignon (les Michel-Béchet) acquiert cette maison en 1865 et la restaure entièrement. (...) Le duc d’Ormond achèvera sa vie et sa retraite avignonnaise rue Violette, à l’hôtel de Caumont, de 1740 à 1745. Cet ensemble, où ce qu’il en reste, abrite aujourd’hui la collection Lambert.»

Pour en savoir plus, on pourra lire Jacques III Stuart, un roi sans couronne : extraits de la "Gazette de Hollande" (1716), du "Journal du Médecin Brun" (1716), textes recueillis par Georges Dickson :
À lire à la bibliothèque universitaire d'Avignon,
À acheter sur AbeBooks.

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Commentaires

  • bonne annee Michel!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    ************************************************************************
    jai eu la difficulte a laisser un commentaire du premier janvier 2017. alors je laisse le
    commentaire ici.

    je te souhaite pour lannee 2017 et toujours une rue d'oree.
    je t'embrasse
    Madeleine

  • Il fallait le connaître ce portrait...Je n'aurais pas trouvé. L'Académie de Vaucluse a publié dans son bulletin de septembre 2014 le résumé de la communication de Gérard Valin sur le sujet. Mais ce qu'il a écrit dans le lien donné par Guima est encore plus complet. Les ouvrages de Dickson sont aussi consultables (plus facilement qu'à la BU) à la médiathèque Ceccano (je viens de vérifier) et probablement au siège de l'Académie les jours de permanence.

  • Qu'il soit allé finir ses jours à l'hôtel de Caumont, je n'en doute pas... mais rue Violette, c’est une autre histoire, puisque l’hôtel de Caumont n’a été construit qu’à partir de 1751…

    Où résidaient les Caumont dans les années 1740 ? Je n’en sais fichtre rien, mais ce qui est sûr c’est que c’était ailleurs, puisque le terrain était à l’époque occupé par les fondations du grand bâtiment neuf, jetées juste avant la peste de 1720, et qui restèrent en attente jusqu’à la date précitée.

    Quant à « ce qu’il en reste », ce n’est pas seulement l’hôtel de Caumont, mais aussi l’hôtel voisin de Montfaucon, le premier construit sur cette vaste parcelle lotie par Saint-Martial dans les années 1710.

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