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Cènt an après 28 plaço di Cors-Sant

Cent ans après 28 place des Corps -Saints
A hundred years after Corps-Saints square 28
Hundert Jahre nach Corps-Saints Platz 28

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Commentaires

  • j'aurais préféré reconnaître l'endroit parce qu'il n'aurait pas changé
    elle était belle cette façade simple et régulière

  • Pas génial le maintenant.
    Dans " ma rue" à Paris on a détruit d'anciennes écuries d'un Général d'Empire de Napo
    (c'était super joli) pour bâtir un immeuble moderne pour l'époque, c'est à dire quand j'étais très jeune.

  • Hey, où est donc la rue qui pote le nom d'un général d'Empire ? Je suis habitant du quartier depuis 16 ans et ne vois pas le nom d'un général ?! Ah oui, le Gal grenier ! Car gal ne veut pas dire coq en provençal mais général (d'après les Télécom) ?! Une erreur dans la transcription des noms de rues par une société d'analphabètes et zou maï, on finit par raconter n'importe quoi. Sinon, difficile de faire le rapport entre les deux photos (sauf lorsqu'elles sont cote à cote.

  • L'immeuble "Genin"était relativement banal, il faut en convenir. Mais il gardait à cette place-rue une unité architecturale. Contrairement à ceux qui l'encadrent cet emplacement a été inscrit comme sans obligations particulières autres que les règles d'urbanisme générales, à ce que j'avais vu lorsque je me suis étonné de la reconstruction. La présence de la cour derrière et l'adjonction d'un étage supplémentaire ont permis une belle opération immobilière. On aurait pu imaginer qu'elle ne fut autorisée qu'à la condition de garder à la façade une allure en rapport avec les autres immeubles environnants (ouvertures en particulier). Nenni, nous voici donc avec une "Petite Balance" aux Corps Saints...

  • Volonté d'occuper l'espace au max. Cette grille dans le renfoncement n'est pas du meilleur effet sinon du meilleur goût.

  • Michel, il s'agit d'un commentaire qui proposait la rue du Général Leclerc :
    Tribunal, puis conservatoire = justice, puis musique.

    Serge, bonne question. Il y a la rue Bonaparte, mais sous l'Empire il n'était plus général !
    Il n'y a curieusement pas de rue du Maréchal Brune, seulement une résidence.
    Non, décidément, point de général d'Empire dans les rues d'Avignon.
    (Dites-moi si je me trompe.)

    Bien vu, Lou, oui : une petite Balance aux Corps-Saints !

  • Je ne sais pas s'il y a une rue portant le nom d'un général d'Empire mais la Ville aurait pu donner le nom d'une de ses rues à un maréchal d'Empire qui s'est fait assassiner en ses murs et dont le cadavre a eu à subir de nombreux outrages. Il y a une plaque apposée sur un mur pour rappeler l'évènement, c'est déjà ça.

  • Oui, Le Villeneuvois, je l'évoque justement dans le commentaire précédent.
    Brune a quand même son "petit quartier", celui de l'ancien mess des officiers, dont la résidence qui s'y trouve porte le nom. Il y a là une place qui, si je ne me trompe, n'a point de nom. Maréchal Brune lui serait tout trouvé.

  • Oups ! La ligne concernant le dit maréchal m'avait échappé :)
    Je ne connais pas par contre l'ancien mess des officiers.
    Je m’interroge justement sur l'assassinat du Maréchal Brune le 2 août 1815. Le négociant Soullier, fils du président du tribunal et de la Chambre de Commerce, meneur des opérations, a-t-il un lien de parenté avec le futur maire Charles Soullier, lui même négociant, édile en 1820 ?

  • Oups ! La ligne concernant le dit maréchal m'avait échappé :)
    Je ne connais pas par contre l'ancien mess des officiers.
    Je m’interroge justement sur l'assassinat du Maréchal Brune le 2 août 1815. Le négociant Soullier, fils du président du tribunal et de la Chambre de Commerce, meneur des opérations, a-t-il un lien de parenté avec le futur maire Charles Soullier, lui même négociant, édile en 1820 ?

  • Sur le cliché ancien, le débord de la corniche (en haut à droite) a été gratté, je ne sais pas pourquoi...

    J'ai sous les yeux un sous-verre qui avait été fait chez l'ancien "marchand de couleurs", le vrai nom était "Station peinture", et je sais que la famille qui tenait la boutique avait un nom particulier, dont je n'arrive justement pas à me rappeler !

    Pour le reste, superbe jeu de mot de Lou Ravi, sur l'élu qui doit "veiller au grain"... (qui rejoint mon idée de grenier d'abondance...) et surtout, bien d'accord avec ceux qui décrient cette façade qui illustre bien la désinvolture avec laquelle les architectes moderners traitent la belle unité de nos alignemens urbains... une belle unité qui peu à peu s'évapore ...

  • Lou Ravi, c'est plutôt l'adjoint qui pourrait confirmer que bien des habitants de la rue donnent pour domicile une adresse qui n'est donc que bidon car grâce à vous je connais désormais son nom et son adresse :)

  • AB: c'est cela Station Peinture ! Je ne sais pourquoi j'avais, sans certitude une autre enseigne en tête. Le nom de la famille devrait me revenir surtout si je mets la main sur la presse datée de son départ définitif de la boutique. Boutique qui avait peu à peu, concurrence oblige, réorienté ses ventes vers l'encadrement, les repros, la déco...
    L'adjoint en question sait au moins où il habite ! Et il a été à l'honneur il y a peu sur ce blog, en toute discrétion. On lui tirera quand même les zoreilles quand on sait, si je ne me trompe, que c'est lui qui nous a mis par terre le tout proche square Agricol Perdiguier pour en faire ce machin moderne sans ombrages et sans âme avec des bancs de métal où, l'été, tu te les grilles comme si tu t'asseyais sur un barbecue. A faire moderne je préférais encore les initiatives de son voisin Benoît et sa Tour de Ceps ! On est donc resté dans le quartier en oubliant qu'il comptait jadis une des meilleures boucheries de la ville (kébab to-day) et en face, tout près de notre immeuble, le fameux Bar des 4 Coins, si bien nommé !

  • Hier je parlais des vues de Google Maps datant de 2008 et de 2012 qui cohabitent à cet endroit. Voici celle où l'on peut voir l'ancienne "Station Peinture" et l'enseigne de la seconde vitrine "Tout pour l'Artiste-Peinre" :
    http://goo.gl/maps/QuT6M

    Il me semble que le magasin (aujourd'hui, hélas ! disparu) comportait deux parties distinctes : la "Station Peinture" (papiers-peints, moquettes, peintures, vitrerie) et la seconde boutique réservée aux Beaux-Arts (toiles, châssis, couleurs, vernis, etc).

    Les étudiants de l'école des Beaux-Arts (quand l'école était encore dans la Caserne des Passagers pas très loin de là) venaient sans doute s'y fournir...

    (j'ai posté ce même commentaire par erreur sur le post d'hier !)

  • Merci Tilia pour ce rappel de mémoire...A droite effectivement ils exposaient du matériel d'artistes, des toiles sans grand intérêt, des cadres...Le magasin avait vieilli, il était trop tard pour qu'ils se modernise. Michel les frangins et leurs banastes débordantes furent effectivement des vedettes sur la place. Et il y a seulement 10 ans tu pouvais passer commande au tabac d'un excellent Saint-Nectaire tout droit arrivé des pâturages...
    SG va avoir du boulot avec des zèbres aussi versés dans le patrimoine que Monsieur Fils, Dents Longues, Dalida, Lou Ravi (suis jaloux de notre ingénieur barthelassien !), Rizette et j'en passe...

  • Aristide, gagné... c'est bien celà ! Merci de m'avoir rafraichi la mémoire !

    Lou Ravi, bien d'accord pour le "Jardin des Plantes" qu'un géorgien transforma en "jardin sans plantes"... Ce qui est absolument extraordinaire, c'est que dans ce genre de situation, la végétation finit plus ou moins rapidement par reprendre ses droits... Or ici, nenni ! Quinze ans plus tard, l'univers de ce "square" si bien nommé (cabine téléphonique londonienne oblige !) resté désepéremment minéral et métallique. A croire que les équipes municipales lui rafraichissent la coupe deux fois par mois !

  • Pour ceux qui n'auraient pas compris, nous parlons dans ces commentaires de Sébastien GIORGIS, adjoint délégué au Patrimoine historique et naturel, au secteur sauvegardé, à la qualité urbaine des espaces publics et au projet stratégique de développement territorial (SCOT, PLU), architecte DPLG, paysagiste FFP, urbaniste SFU et paysagiste-conseil de l'État (ouf !) qui est domicilié rue Gal-Grenier, justement.

  • le marchand de primeurs FERRAGUT on pouvait rester de longues minutes à admirer ses présentations!

  • Oh, le vilain que tu fais. Personne n'avait donné le nom de Seb' ! Sourire. Lui qui aime tant le métal (cf nos propos sur le Jardin Déplanté ) va se régaler à entendre le bruit des casseroles que se traînent bien de ses collègues...Question pipeau Crevette est en train de se mettre vite au pli avec par exemple son annonce de baisse de son indemnité...Bon tout cela nous éloigne, mais pas trop, de notre Balance en miniature. Bravo pour avoir trouvé Aristide. Déjà il y a cent ans il y avait le A !

  • Bon moi j'étais pommé (j'ai quitté Avignon en 1966) entre le général, le gal, Leclerc, Grenier, etc...
    J'ai pourtant habité la rue Portail Magnanem( 18 ans, enfin presque) et arpenté le quartier(Galateau, le Petit Jardin, Ferragut, rue Lagnes, le cinema le Paris), mais jamais remarqué la rue Gal Grenier.
    Mais ça s'était avant...

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