Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Pau Giera en 1854

Paul Giéra

276929835.jpg

Lien permanent 7 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Après Jean Brunet, nettement marqué à gauche, voici un félibre de droite mais plus modéré que son frère Jules qui était recteur des Pénitents Gris. La mauvaise qualité de la photo s’explique par le fait qu’il s’agit de celle d’un pastel non signé encadré sous verre. Les Giera (tu as je crois montré leur hôtel particulier rue Bansterie) tenaient leur fortune d’un bienfaiteur, Pierre-Marie d’Alcantara Goujon. Tu as montré aussi dans ton blog une photo du magasin de vaisselle familial. Glaup (Paul G), comme il se faisait appeler, devait être un des présents lors de la fondation «officielle» du Félibrige à Fontségugne. Avec la fermeture du collège qui portait son nom (remplacé par La Fabrika) Paul Giera va un peu plus passer dans l’oubli.

  • Que de monde cèlèbre à Avignon !
    J'aime bien le sens interdit n° 82.
    Bon wouik Bichel !
    PS Dis moi, t'as un truc pour trouver tous les tableaux de Tilia, ou quoi !!!

  • Les détails de Tilia ne sont pas assez détaillés, si je puis dire, ou de trop, j'aurais pu trouver Gauguin, Modigliani et Van Gogh. C'est trop injuste.

  • Ne l'imaginais pas comme cela, c'est vrai je n'ai jamais cherché à savoir à quoi il ressemblait.

  • Non seulement Paul Giéra était l'un des sept qui fondèrent le Félibrige, mais Fontségugne lui appartenait !
    Paul Giéra était notaire.
    En plus de son frère Jules, il avait deux sœurs : Clarisse et Joséphine.
    C'est Joséphine qui amena avec elle à Fontségugne une de ses amies qui tapa dans l'œil de Théodore Aubanel. Elle s'appelait Jenny Manivet, dite Zani (il y a une plaque sur sa maison natale rue Ste-Catherine).
    Anselme Mathieu également, tomba sous son charme.
    Elle ne resta pas longtemps à Avignon. D'une grande piété, elle se fit sœur de charité. Sœur Julie fut envoyée dans une école à Bourg-Argental, puis à Paris à l'hôpital Necker, enfin à Constantinople d'où elle ne revint pas.
    Théodore conserva toute sa vie précieusement une fleur venant d'elle.

  • Une photo dont les flous font penser à une aquarelle.

    Un nom qui fait penser à un lycée, comme beaucoup de ceux qui tu as évoqué ces dernières semaines.

Écrire un commentaire

Optionnel