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Cènt an après porto Sant-Lazàri

Cent ans après porte St-Lazare
A hundred years after St. Lazare gate

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Photo Georges Estève (1890-1975).

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Commentaires

  • Comme j'aurais aimé prendre le tram à cette époque là et parcourir ainsi "ma" ville !
    Les bus d'aujourd'hui ont moins de charme.

  • Bureau d’octroi je pensais (les gardes en képi sont là, un a l'air armé. Noter les plots de pierre qui délimitent l'endroit d'examen des chargements). Sur la droite ce qui semble être une barrière de bois destinée à fermer le passage. Elle est semblable à celle vue sur une photo (que tu nous a montrée) de la porte de la Ligne. J’ignorais que cela avait été, un temps, une recette auxiliaire des Postes et Télégraphes. Impressionnante cheminée qui se doit de dépasser le crénelage…Quelle belle allure devait avoir la ville (les rues au moins) avec ces calades omniprésentes ! Sur la deuxième photo les fils du tram ont disparu. A moins que le contre-jour ne les cache. Sur la troisième tu as dans ton dos (on ne les voit donc pas) ce que je pense être le plus gros platane d'Avignon et les restes de la tour sud-est du ravelin qui protégeait la porte principale de la ville. Rois et reines entraient dans Avignon par la porte alors non dédoublée. A gauche (grille) c’était le marchand de bois d’œuvre Cessieux. La maison centrale devint jusque dans les années 60-65 ( ?, ero pitchounet) le magasin de journaux-bimbeloterie de Mme Jullian (orthographe ?) dont la fille, Mado, tint pendant plusieurs années (années 1990-95 ?) le bar-tabac place Carnot/Jérusalem. Elle doit avoir bien des choses à raconter sur ce coin si vivant (autrefois) de la ville.
    Perdue la calme agitation d’antan. Abribus, panneaux, barrières, mobilier urbain surabondant, conteneur, plots, bagnoles, motos, autobus démesurés. Tout est en place pour la modernité..

  • Une poste restante
    une cheminée cherchant le vent
    se haussant du col
    un platane court sur pattes
    la ville n'en finit pas de se dévoiler

  • Etait-ce déjà la poste sur la première photo ?
    La poste n'est plus mais le platane est toujours là.

  • Non, ce n'était pas la poste, mais l'octroi (comme en parle Lou Ravi un peu plus haut).
    Les denrées entrant à Avignon étaient taxées...

  • Les denrées entrantes étant taxées à cette époque (ancêtre de la TVA) comme dans toutes les villes...

  • Pour le platane j'avais oublié...(Je suis retourné lire et suis resté un peu sur le c..Citer Alibert pour clouer les occitans mais oublier tous les félibres collabos...). J'en reviens au platane: plus que centenaire c'est sûr. Il y a eu des instructions royales ou ministérielles pour les plantations (Henri IV les ormes, Napoléon III acacias et platanes etc.).
    Le bureau du service des postes et télégraphes fut d'abord au pied du Rocher (au droit de l'escalier Ste Anne). Mais c'était, si je ne me trompe, au temps du télégraphe Chappe installé au sommet. Le bureau principal fut plus tard cours de la Républqie et les recettes auxiliaires à St Ruf, rue Thiers et St Lazare (à la place de l'octroi). A creuser...

  • pour lire M tilia faire un tour en tram.......
    J'ai honte et suis pote de Mazet....( et son sac à trouvailles)
    Ligne Le pontet les usines
    Rue Carreterie Place Carnot
    Rue de la Re.....????et je ne sais plus

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