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j'avez aimé les banderoles la veille du vernissage en passant - j'ai calé le jour J, parce qu'il y avait déjà vases communicants et parage - faudrait tout de même pas que j'oublie d'y aller - tu l'as vue ?
Étranges messages, pourquoi voudrions nous faire comme eux ? Pour Brigitte, nous avons déjà vu les oeuvres exposées, pour ma part ce que j'ai préféré c'est la salle du bas avec Anselm Kiefer. Pour le reste, je n'ai pas forcément adhéré aux choix du grand donateur.
J'aimerais mais demande à voir avant.
Un relent soixante-huitard ?
Je n'ai pas eu envie d'entrer dans l'hôtel de Caumont cette année.
Aller revoir toujours les mêmes œuvres ne m'intéresse pas.
Surtout la fenêtre industrielle que je peux pas considérer comme art contemporain.
C'est dommage pour les nouvelles œuvres (y en a-t-il ?).
Pourvu que ce musée ne se couvre pas de poussière...
Moi, je veux bien, mais c'est qui NOUS ?
Je pense que "nous", c'est nous.
J'y vois une formulation modelée sur la dialectique chrétienne, mais qui nous renvoie la responsabilité de notre condition.
J'y vois une prière athée pour la fraternité.
On n' a pas le choix. Une règle imposée.
Je n'aime pas les credos.
Il y a longtemps que j'ai passé l'âge d'obéir aux impératifs et le conformisme de ceux là me navre. Si encore c'était écrit "comme nous TOUS", on pourrait évoquer l'idée d'une certaine fraternité dans la destinée. Mais là, non.
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j'avez aimé les banderoles la veille du vernissage en passant - j'ai calé le jour J, parce qu'il y avait déjà vases communicants et parage - faudrait tout de même pas que j'oublie d'y aller - tu l'as vue ?
Étranges messages, pourquoi voudrions nous faire comme eux ? Pour Brigitte, nous avons déjà vu les oeuvres exposées, pour ma part ce que j'ai préféré c'est la salle du bas avec Anselm Kiefer. Pour le reste, je n'ai pas forcément adhéré aux choix du grand donateur.
J'aimerais mais demande à voir avant.
Un relent soixante-huitard ?
Je n'ai pas eu envie d'entrer dans l'hôtel de Caumont cette année.
Aller revoir toujours les mêmes œuvres ne m'intéresse pas.
Surtout la fenêtre industrielle que je peux pas considérer comme art contemporain.
C'est dommage pour les nouvelles œuvres (y en a-t-il ?).
Pourvu que ce musée ne se couvre pas de poussière...
Moi, je veux bien, mais c'est qui NOUS ?
Je pense que "nous", c'est nous.
J'y vois une formulation modelée sur la dialectique chrétienne, mais qui nous renvoie la responsabilité de notre condition.
J'y vois une prière athée pour la fraternité.
On n' a pas le choix. Une règle imposée.
Je n'aime pas les credos.
Il y a longtemps que j'ai passé l'âge d'obéir aux impératifs et le conformisme de ceux là me navre. Si encore c'était écrit "comme nous TOUS", on pourrait évoquer l'idée d'une certaine fraternité dans la destinée. Mais là, non.