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Cènt an après 170 carriero Carretiero

Cent ans après 170 rue Carreterie
A hundred years after Carreterie street 170

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Lien permanent 8 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Plus de commerces et l'immeube derrière a été détruit et refait à neuf. Je n'arrive pas à voir où on est dans la rue Carreterie...

  • Ce qui est réjouissant est que les fenêtres ou les ouvertures, ça va, ça vient... L'atelier de menuisier dehors dans la rue c'est agréable, quand même!

  • l'immeuble de droite n'a plus même percements et son retour a gagné en profondeur : reconstruit en respectant la hauteur ?
    et tout le rez-de-chaussée de l'autre est reconstitution à partir de souvenirs ?

  • Tout au bout de la rue, Nathalie, en face de la double porte du rempart St-Lazare.

    Complètement d'accord, Chri.

    Je me pose la question, Brigetoun : cette maison n'a-t-elle pas été entièrement reconstruite en respectant les proportions de l'ancienne ?

  • Pas étonnant que Nat' ne reconnaisse pas le début de la Carreterie: ce coin est un des rares endroits un peu coquet. 20 m de plus et c'est soiffards, voitures en double-file, tables installées sur la chaussée etc. Et Aldo (le bar-restau si sympathique) qui n'est plus là ! Je ne me souviens pas de la démolition de cette maison "Roux". A l'arrière par contre tout a été rasé et reconstruit notamment pour un faire une résidence d'étudiants. Je ne me souviens pas non plus de cette sorte de tour. Il y avait là derrière, jusque dans les années 60-65, une cartonnerie (du nom de Moulin ?) dotée également d'une entrée rue Bourguet. Affiche de la tournée Mayol et, souvenirs-souvenirs car je n'en voit plus guère: la gabi pendue au volet. Mes parents me disaient que pendant les gros bombardements de 1944, la morgue toute proche (et que des empègues de théâtreux ont investie lors du Off 2010) débordait de cadavres et que le quartier empestait en attendant l'inhumation collective à St Véran.

  • Oui, tout a été reconstruit ou presque dans ce coin... et la morgue transformée en cafétéria.

    N.D.L.R. :
    Gàbi : cage.
    "Empègues" de "empega" = coller, dérober, gifler, ivre... ici sans doute le sens de "fous" (ou bien ?)

  • Merci Michel pour la traduction de "la gabi". Je connaissais Fanny, mais là je n'aurais pas deviné :)

    Les "empègues de théâtreux" dont parle Lou Ravi, pour moi c'est une petite compagnie qui s'est collée au culot dans ce local le temps du Off, mais je peux me tromper...

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