Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

RG ? PG ?

3411797809.jpg

Lien permanent 46 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Beaux entrelacs. Mais ce n'est pas RG mais PG avec un lien voluté entre les deux lettres. Initiales de quelqu'un de célèbre dans notre ville, que vous allez deviner.

  • Le tailleur de pierre et le sculpteur sur bois n'ont pas su exactement reproduire le même motif. C'est un travail moderne...
    Il s'agit sans doute de l'entrée de l'ancienne Casa d'Irène. C'est une résidence. Mais PG ?

  • Ni Péri, ni Pernod. Pas de rapport avec l'Eglise. Si Jeandler repasse par là et puisqu'il a fait une allusion artistique avec Grivolas: je ne sais si j'ai évoqué avec lui le rapport artistique justement qu'il y a entre Avignon et Orléans ?

    Pour revenir à PG: ce fut quelqu'un d'intègre et admiré pour son courage. Langue au chat ?

  • J'aimerais connaître le rapport entre cette maison et ce personnage.
    Y est-il né ? Y a-t-il vécu ?
    Guillaume Puy (on va finir le tour des GP...)

  • GP?
    Guillaume Puy, maire d'Avignon (1751-1820)
    Il y a tant de célébrités avignonnaises... Orléans pourrait en être jaloux...

  • Un monogramme qui aura échappé à mon inventaire... Guillaume Puy, c'est juste pour le rapport avec Orléans, ou avec cette demeure ?

  • C'était là qu'habitait GP. Il fut ainsi presque aux premières loges lors des émeutes qui virent la fin tragique du Maréchal Brune.
    Je ne vois pas le rapport avec la Casa d'Irène. ??? J'étais jeune et j'ai dû y mettre les pieds deux ou trois fois, étonné que l'on puisse ainsi ouvrir au public un lieu aussi "profond" et sombre, sans sécurité...

  • Le rapport avec la Casa d'Irène, c'est qu'elle était là !
    Donc ce mur et cette porte portent le monogramme de Guillaume Puy.
    Sont-ils d'époque 1er Empire ?
    Et pourquoi PG et non GP ?
    Que de questions...

  • Que de questions en effet et que de remue-ménage chez moi pour retrouver la source. Surprise c'est tout bête: l'info est dans le bouquin de Girard "Evocation du vieil Avignon" ! Je cite:
    "Hôtel d'Armand, ancienne maison du maire Guillaume Puy.....La maison du XVIII a conservé de chaque côté de la porte, l'éteignoir de métal qui servait la nuit aux porteurs de chaises à éteindre leurs torches"

    Le monogramme commençant par le nom: je crois bien avoir vu d'autres exemples.

    La Casa d'Irène que j'ai connue était rue étroite...Alors ??? Une autre Irène ????

  • Lou Ravi, Girard ne parle pas de la rue Étroite dans "Evocation du vieil Avignon" (ou alors l'index du bouquin est mal fait)...

    Guillaume Puy aurait quitté l'Hôtel d'Armand pour cette demeure de la rue Étroite ?...

  • Je ne comprends pas. Girard n'évoque pas la rue Etroite dans son livre. Du moins dans l'édition que je possède: 1979 Editions de Minuit, réédition de celle de 1958...Parlons-nous bien du même ouvrage Tilia ?

  • Oui, parce que ces PG sont rue Étroite et l'hôtel d'Armand est impasse de l'Oratoire...
    Ne pas confondre notre monogramme en question avec des éteignoirs... !

  • Et pour ma part, le ou les rapports Avignon-Orléans, je donne ma langue au chat, cher Lou Ravi.
    A moins que votre nouveau directeur du Festival soit la réponse. Il fut avant d'aller à l'Odéon, directeur du Théâtre d'Orléans ...

  • Ah, je comprends mieux, il y avait donc un autre monogramme PG rue Etroite. Ce qui est sûr c'est que la maison de Puy était à l'Oratoire. Peut-être avait-il un autre bien ( qui deviendra la Casa d'Irène ? ) rue étroite. Ou avait-il un homonyme ? Là, je n'en sais rien.

    Jeandler: je ne manque pas, à chaque passage à Orléans (la ville où les travaux de la gare sont les plus longs au monde !), de faire deux choses: acheter des cotignac rue de la Bretonnerie, et me rendre dans un certain parc. Je viens de donner une piste....

  • Je commence à comprendre (cerveau lent que j'ai) ces monogrammes n'ont pas de rapport avec les éteignoirs. La succession des "billets" m'a fait penser à une suite aux éteignoirs...
    Ce monogramme (qui pourrait être celui de Puy mais dont il serait plus logique alors, comme tu l'as souligné qu'il soit GP) est donc bien sur la Casa d'Irène, Casa que j'ai du mal à reconnaître car j'ai surtout en tête une rue sale, encombrée de poubelles et taguée...Bon alors ce PG de l'Etroite qui est-il finalement ?

  • Le tour fait de mes notes, je sèche lamentablement sur cet immeuble. Guillaume Puy oublié je ne trouve rien. Même pas Pernod . Je me demande ce qu'est devenue la cave de la Casa. Et je cherche le nom de cette discothèque, elle aussi cave, qui était rue des Marchands, près de Ribas.

  • Merci Tilia, j'avais oublié...Il y avait une lourde porte en bois, un escalier de pierre, une cave voûtée, tout en en longueur si je me souviens bien... La Cas d'Irène est venue après, dans les années 75-80 ?

  • Jamais mis les pieds à la Casa d'Irène, je n'avais pas la permission de sortir le soir et je n'en ai entendu parler que bien plus tard.
    D'autres parmi mes copines fréquentaient le Madison, mais je n'y suis jamais allée non plus.

    Au Twist, en plus de la salle toute en longueur, il y en avait une plus petite sur le côté pour les couples qui voulaient s'isoler un peu. Que de souvenirs !

  • Lou Ravi, les travaux de la gare, des gares veux-tu dire. Nous en sommes à la quatrième et ne servant à rien... Le cotignac est la spécialité orléanaise depuis qu'un patissier de Cotignac (dans le Var) l'eut importé ici... Quant au parc, en ville, je vois le Parc Pasteur : Félix Charpentier, élève de l'Ecole des beaux-Arts d'Avignon (1858-1924) est l'auteur du groupe sculpté qui orne la fontaine.

  • Jeandler, je me trouve parfois en transit à Orléans (pour prendre la ligne des Aubrais) sans toujours bien comprendre où je dois attendre...

    Oui, le lien avec Avignon est bien Charpentier dont le groupe du parc Pasteur, avec sa pièce d'eau, est magnifique. L'ami MB nous a plusieurs reprises signalé les sculptures avignonnaises de Félix... Et la pâte de coings est encore un lien, effectivement, avec la Provence.

  • Le Twist a réouvert éphémèrement lors des années "disco" (1977 ou 1978) sous le nom "Le 20/12"! Sur leur carte, il était écrit: "Hotel Rascas" , rue des Marchands!
    On y allait le mercredi après-midi! Il y avait une grande glace où l'on pouvait se regarder danser sur Rod Stewart!!

    Le club était tenu par un certain Charmasson qui a repris par la suite "La Chouette", club de jazz initialement ouvert par deux allemands rue Galante, pas très loin de la Casa d'Irène et aujourd'hui restaurant japonais (où l'on peut manger un bon barbecue coréen!)!

    Quant à la Casa d'Irène, jusqu'à ces dernières années, malgré les conditions fragiles de sécurité (et climatisation), elle faisait office de salle de spectacle Off!

    Je crois qu'elle dépends aujourd'hui du fonds du restaurant 'Autour du monde"!

    Merci pour le blog! Beaucoup de souvenirs avignonnais!

  • principe à retenir pour moi
    repasser deux ou trois jours après et faire mon miel de vos réflexions, et de votre science

  • Only You !

    Merci pour ce rappel. J'étais trop jeune et avec des parents trop fauchés pour vraiment connaître mais tout cela évoque cette vie, un peu à la St Germain, que connaissait Avignon avec ses deux ou trois clubs et l'Ambassy.

    Déclic d'un coup: ce Charmasson est probablement le très connu jazzman Rémi Charmasson (taper son nom sur Google) qui s'est produit avec sa formation cet été (ou en 2010) dans le village du Off ???? Je crois même que j'ai bavardé avec lui, il jouait de la guitare.

    Tout cela à partir de deux initiales...

  • Je viens de découvrir (lisant sur le net une interview de Manuel Pratt) que c'était un bordel !

  • Quand on lit la première phrase de l'article en question on peut s'interroger sur le degré de véracité de cette affirmation :
    "Quand un inconnu l'interroge sur son métier, il dit qu'il est dentiste. Et qu'il s'appelle François. Manuel Pratt est un blagueur."

    Ceci dit, dans mon souvenir, la Casa d'Irène n'avait pas très bonne réputation et il s'y est certainement passé des choses. Mais de là à la qualifier d'ancien bordel...

  • Des lustres que je en suis plus passé par cette rue qui, la dernière fois que j'y ai mis les pieds puait la pisse, était encombrée de détritus et barrée par des poubelles...

    Qui pouvait donc avoir les moyens de ces jolis ornements. Je pense à la famille Gouirand. Paul avait un cabinet médical rue de la Ré. Et la pharmacie Gouirand n'était-elle pas, au débouché de la rue Galante ? Rue Etroite, on était donc entre les deux ???

  • Je vous remercie pour les informations. Je me permets de poster ce lien. Je repasserai vous lire billets avec joie sur cette page web et je l’ajoute à mes favoris.

Écrire un commentaire

Optionnel