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douceur infinie de la lumière, à l'heure des ombres longues
limpidité du ciel
rugosité de la tour
velouté du gazon
Why were you taking photos of my fortress?
Bon weekend quand meme, Michel!
Et lumière et matières, émotion.
C'est une variété spéciale pour être de ce vert là ? En tant que piéton je ne me plaindrais pas de ces promenades qui remplacent les parkings.
Sans commentaire !
Come soon, hasten, Baron, the fortress needs you !
C'est la lumière qui donne la couleur. Aucune intervention sur l'image Fardoise.
Superbe photo ! L'écroulement des mâchicoulis et corbeaux en paraissant donner plus de hauteur au rempart renforce l'effet de muraille. L'herbe a l'air plus vraie que nature. J'ai pensé tout de suite à la mousse que nous allons chercher dans les bois à Noël, pour la crèche...
Hmmm, c'est fou comme 'sans titre' stimule tes lecteurs pour en trouver un.
Moi cette verdure m'énerve. J'aimais qu'on puisse se garer gratuitement autour des remparts et je suis exaspérée par le double discours de la mairie qui feint de plaindre les pauvres commerçants sinistrés du centre ville mais fait tout pour qu'on ne puisse plus venir faire un tour intra-muros sans commencer par être assassiné par des frais de parking.
Alors la douceur de l'herbe oui, mais réservée à qui ? Pour faire joli pour les gens qui passent en voiture mais ne s'arrêtent plus ?
Lou, cette herbe contrainte, bête et verte me fait penser à tout sauf au charme d'une balade dans les bois à la recherche de mousse pour la crèche de Noël...
Bon, c'était mon matin coup de gueule.
Les jours raccourcissent
les ombres s'allongent
le mur impassible
Position très intéressante et nécessaire, Nathalie ! Merci.
Nat' : on ne peut pas à la fois trouver du charme à la mise en valeur des remparts et vouloir que les bagnoles stationnent jusqu'à leur pied. Mais je suis bien d'accord sur le fait que le centre ville ne peut vivre sans la possibilité de se garer au plus près de celui-ci. Le double-langage de la mairie n'est pas nouveau. Et on ne trouve personne en face (j'entends par là "l'opposition" municipale) pour dénoncer l'aspiration totale vers la périphérie de la commercialité de la ville. Comment feraient-ils nos braves "opposants" quand on sait que dans les communes qu'ils détiennent ils font exactement la même chose ? Le centre-ville est donc appelé à se vider de ses meilleurs commerces pour ne garder que des franchises vendant des pacotilles, des bibelots à touristes, des kébabs et quelques enseignes de la grande distribution qui avancent plus pu moins masquées. Avec un ou deux îlots chics pour nos bobos comme côté Vernet. La grande distribution impose ses vues à tous les niveaux et ne trouve de meilleurs alliés que chez les élus (voir à ce sujet la dernière implantation d'Auchan sur Donzère). D'ailleurs avez-vous vu la presse communiquer le sens des votes de ce derniers dans les décisions des CDEC et CDAC ? Jamais, faut pas trop faire de l'ombre aux principaux annonceurs...
Il y avait une belle opportunité dans notre ville pour assurer à la fois le dégagement des remparts (j'ai oublié de dire que Vinci n'a pas dû être en reste pour rentabiliser ses parkings, celui de Jaurès en particulier) et la création de parkings de proxilité. Cette opportunité était pour la ville de préempter tous les espaces disponibles juste en face, et ils étaient nombreux: Bois Moulet (Etap Hôtel et immeuble Vaucluse Logement aujourd'hui), Ilôt Catto et pompes Grillot (aujourd'ui Grand Hôtel), Caserne de Salles (Commissariat), Bois Quioc (angle route de Montfavet et Bd Limbert) Caserne du Parc des Equipages (Palais de Justice) etc. Il y avait là, à chaque fois, des terrains importants, des friches qui auraient permis la création de grands parkings à deux pas des remparts. Bon, j'ai fait long, désolé et tant pis pour l'évocation de la jolie mousse des sous-bois...
... et d'autres encore pour lesquels on privilégia le logement.
Merci Lou - complètement d'accord sur l'occasion ratée de préempter tous ces emplacements. D'autant plus qu'il n'aurait pas été difficile de mettre au moins deux étages de parkings et de bâtir les hotels au-dessus.
Quant au commissariat, c'est le pompon : il n'y a même pas un parking visiteurs pour quand on veut venir faire une déclaration ou une déposition. Il faut se garer.... où ? Chez Vinci encore, pour avoir le droit de porter plainte ? Vu le temps d'attente au guichet (2 heures quand j'y suis allée pour déclarer le vol de mon sac), ça revient cher la déposition. Et contrairement aux gentils commerçants du centre ville, le commissariat ne délivre pas de bons de parking gratuits à ses "clients"" !!!
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douceur infinie de la lumière, à l'heure des ombres longues
limpidité du ciel
rugosité de la tour
velouté du gazon
Why were you taking photos of my fortress?
Bon weekend quand meme, Michel!
Et lumière et matières, émotion.
C'est une variété spéciale pour être de ce vert là ? En tant que piéton je ne me plaindrais pas de ces promenades qui remplacent les parkings.
Sans commentaire !
Come soon, hasten, Baron, the fortress needs you !
C'est la lumière qui donne la couleur. Aucune intervention sur l'image Fardoise.
Superbe photo ! L'écroulement des mâchicoulis et corbeaux en paraissant donner plus de hauteur au rempart renforce l'effet de muraille. L'herbe a l'air plus vraie que nature. J'ai pensé tout de suite à la mousse que nous allons chercher dans les bois à Noël, pour la crèche...
Hmmm, c'est fou comme 'sans titre' stimule tes lecteurs pour en trouver un.
Moi cette verdure m'énerve. J'aimais qu'on puisse se garer gratuitement autour des remparts et je suis exaspérée par le double discours de la mairie qui feint de plaindre les pauvres commerçants sinistrés du centre ville mais fait tout pour qu'on ne puisse plus venir faire un tour intra-muros sans commencer par être assassiné par des frais de parking.
Alors la douceur de l'herbe oui, mais réservée à qui ? Pour faire joli pour les gens qui passent en voiture mais ne s'arrêtent plus ?
Lou, cette herbe contrainte, bête et verte me fait penser à tout sauf au charme d'une balade dans les bois à la recherche de mousse pour la crèche de Noël...
Bon, c'était mon matin coup de gueule.
Les jours raccourcissent
les ombres s'allongent
le mur impassible
Position très intéressante et nécessaire, Nathalie ! Merci.
Nat' : on ne peut pas à la fois trouver du charme à la mise en valeur des remparts et vouloir que les bagnoles stationnent jusqu'à leur pied. Mais je suis bien d'accord sur le fait que le centre ville ne peut vivre sans la possibilité de se garer au plus près de celui-ci. Le double-langage de la mairie n'est pas nouveau. Et on ne trouve personne en face (j'entends par là "l'opposition" municipale) pour dénoncer l'aspiration totale vers la périphérie de la commercialité de la ville. Comment feraient-ils nos braves "opposants" quand on sait que dans les communes qu'ils détiennent ils font exactement la même chose ? Le centre-ville est donc appelé à se vider de ses meilleurs commerces pour ne garder que des franchises vendant des pacotilles, des bibelots à touristes, des kébabs et quelques enseignes de la grande distribution qui avancent plus pu moins masquées. Avec un ou deux îlots chics pour nos bobos comme côté Vernet. La grande distribution impose ses vues à tous les niveaux et ne trouve de meilleurs alliés que chez les élus (voir à ce sujet la dernière implantation d'Auchan sur Donzère). D'ailleurs avez-vous vu la presse communiquer le sens des votes de ce derniers dans les décisions des CDEC et CDAC ? Jamais, faut pas trop faire de l'ombre aux principaux annonceurs...
Il y avait une belle opportunité dans notre ville pour assurer à la fois le dégagement des remparts (j'ai oublié de dire que Vinci n'a pas dû être en reste pour rentabiliser ses parkings, celui de Jaurès en particulier) et la création de parkings de proxilité. Cette opportunité était pour la ville de préempter tous les espaces disponibles juste en face, et ils étaient nombreux: Bois Moulet (Etap Hôtel et immeuble Vaucluse Logement aujourd'hui), Ilôt Catto et pompes Grillot (aujourd'ui Grand Hôtel), Caserne de Salles (Commissariat), Bois Quioc (angle route de Montfavet et Bd Limbert) Caserne du Parc des Equipages (Palais de Justice) etc. Il y avait là, à chaque fois, des terrains importants, des friches qui auraient permis la création de grands parkings à deux pas des remparts. Bon, j'ai fait long, désolé et tant pis pour l'évocation de la jolie mousse des sous-bois...
... et d'autres encore pour lesquels on privilégia le logement.
Merci Lou - complètement d'accord sur l'occasion ratée de préempter tous ces emplacements. D'autant plus qu'il n'aurait pas été difficile de mettre au moins deux étages de parkings et de bâtir les hotels au-dessus.
Quant au commissariat, c'est le pompon : il n'y a même pas un parking visiteurs pour quand on veut venir faire une déclaration ou une déposition. Il faut se garer.... où ? Chez Vinci encore, pour avoir le droit de porter plainte ? Vu le temps d'attente au guichet (2 heures quand j'y suis allée pour déclarer le vol de mon sac), ça revient cher la déposition. Et contrairement aux gentils commerçants du centre ville, le commissariat ne délivre pas de bons de parking gratuits à ses "clients"" !!!